À Claude II Belin, le 4 janvier 1633
Note [19]
Epifanio Ferdinandi (Misagna, Otrante 1569-ibid. 6 décembre 1638) avait cultivé de bonne heure les langues grecque et latine. Étant allé à Naples en 1583 pour apprendre la philosophie et la médecine, il avait obtenu les honneurs du doctorat en 1594. L’année suivante, il était revenu à Misagna où il exerça la médecine jusqu’à sa mort. Il avait refusé d’être professeur à Parme et à Padoue (O. in Panckoucke).
Ses principaux ouvrages sont :
[Propositions médicales et philosophiques, en une étonnante variété d’enseignements, données suivant un ordre nouveau d’écriture, et divisées en trois livres…] ; {a}
[La manière de prolonger la vie, de conserver la jeunesse et de retarder la vieillesse…] ; {b}
[Cent Histoires, ou Observations et Cas médicaux, embrassant presque toutes les parties de la médecine et toutes les maladies du corps humain. En raison de leur érudition, tout autant théorique et pratique que variée, ainsi que de leurs digressions en or, elles seront extrêmement utiles, nécessaires, agréables et dignes d’être lues par les philosophes, les médecins et ceux qui étudient autrement les belles-lettres. Mises au jour pour la première fois…] ; {c}
[Opuscule doré sur la Peste, rempli d’enseignements variés, curieux et utiles, et tout à fait nécessaire à chacun aujourd’hui…] {d}