À Claude II Belin, le 27 octobre 1634
Note [2]
« je crains que ce ne soit l’œuvre de quelque moine oisif et mal occupé, qui nous assomme de ses balivernes. »
Comme il l’a dit plus loin, Guy Patin, avec bien d’autres, jugeait que l’affaire de Loudun n’était qu’une machination fomentée par Richelieu et le P. Joseph pour venger les impertinences de Grandier. Il est impossible de deviner l’ouvrage que mentionnait ici Guy Patin parmi les nombreux qui parurent en 1634 et 1635 sur les religieuses de Loudun (mais aucun de ceux qu’on trouve ne peut être qualifié de gros).