À Claude II Belin, le 4 juillet 1635
Note [15]
« qui recouvre, grâce à Dieu, sa bonne santé de naguère. » Nouvelle preuve que Guy Patin vouait alors une profonde admiration pour Richelieu, qu’on ne lui retrouvera pas pour Mazarin. Elle traduisait son adhésion implicite au parti des bons Français, que Richelieu défendait à l’extérieur contre celui des dévots, sympathisants des catholiques espagnols. La fin du ministère de Richelieu allait pourtant modifier la bonne opinion de Patin à son égard.