À Claude II Belin, le 10 mars 1638

Note [6]

Les Français vécurent la capture de Jean de Werth comme un savoureux soulagement, mettant un terme à la phase de la guerre qui les avait le plus directement menacés. Le duc ou roi de Hongrie était alors en effet un personnage considérable : soit l’empereur germanique (v. note [7], lettre 21), soit son héritier présomptif.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 10 mars 1638, note 6.

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(Consulté le 28/03/2024)

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