À Claude II Belin, le 28 juillet 1642
Note [9]
« dont Dieu seul sait ce qu’il en adviendra » : Deus ipse viderit : hominem quidem scire arbitror neminem [Dieu seul Dieu seul sait ce qu’il en adviendra : je pense que nul homme n’en sait rien] (Cicéron, De la Consolation).