À Claude II Belin, le 30 juillet 1642
Note [4]
Tout ce passage sur les évacuations obstinées de sang et de matières fécales montre bien les limites de la médecine dogmatique (v. note [2], lettre 70), dont tout l’art consistait à vidanger les mauvaises humeurs, dites peccantes, pour tenter d’en rétablir l’équilibre (tempérament), en s’attaquant plus aux mécanismes et aux symptômes qu’aux causes de la maladie.