À Claude II Belin, le 25 août 1642
Note [7]
On a vu dans les cinq précédentes lettres rapprochées tout le fil que Guy Patin eut à retordre avec la fièvre tierce indocile de Sébastien Belin : sa surprise sur le médiocre état du patient, qu’il avait fini par laisser partir à Troyes, était-elle parfaitement objective ?