« je n’ai rien vu de plus déplorable que ça ; si je ne me trompe, je ne crois pas que leur auteur ait agi là avec sérieux. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 12 décembre 1642, note 8.