À Charles Spon, le 14 juillet 1643
Note [12]
« et qui, ayant embrassé la religion des plus purs » (à comprendre sans doute comme la religion réformée).
Guy Patin se trompait ici : il voulait parler de Guillaume ii, mais le confondait avec son oncle, Guillaume i Pellicier ; c’est en effet lui qui se serait marié après avoir passé sa mitre à son neveu, mais Patin le tenait à tort pour le savant homme qui avait tenu la plume de Guillaume Rondelet (pour un livre publié en 1555 [v. infra note [13]] alors que Pellicier l’oncle mourut en 1529).