« il survient par la sédimentation d’une humeur séreuse, crue et déliée s’écoulant et pleuvant dans le poumon, tantôt depuis le cerveau, tantôt depuis les veines thoraciques qui se portent vers lui. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 29.