À Charles Spon, le 29 avril 1644
Note [11]
« suivant le passage exact d’où je me souviendrai l’avoir tiré ».
Patin s’échinait alors à retrouver toutes les sources (« les preuves ») où il avait puisé pour la rédiger sa quodlibétaire de 1643. On en a lu plusieurs exemples dans sa lettre à Charles Spon, datée du 18 janvier 1644. Une thèse de Guy Patin, « L’homme n’est que maladie », en donne le texte intégral et la traduction commentée recensant toutes celles que j’y ai trouvées.