À Claude II Belin, le 9 juin 1644
Note [6]
« Que celui qui se souille, se souille encore » : Qui nocet noceat adhuc et qui in sordibus est sordescat adhuc [Que le pécheur pèche encore, et que l’homme souillé se souille encore] (Apocalypse de saint Jean, 22:11) ; il faut croire que Bareton n’en était pas à sa première indélicatesse.