« Il a péri du mauvais sort qu’il s’était fait » ; v. note [16], lettre 98, pour Ferrante Pallavicino et son sulfureux Divorce céleste qui lui coûta la vie.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 juin 1644, note 5.