À Charles Spon, le 6 décembre 1644
Note [7]
« Il est enflé outre mesure d’un certain orgueil, mais n’a que fort peu étudié ; je crains qu’il ne vous fasse injure, et à votre Hofmann ».
V. note [12], lettre 92, pour les Institutiones de Caspar Hofmann (Lyon, 1645), dont Charles Spon supervisait l’édition.