À Charles Spon, le 2 juin 1645
Note [10]
On dit qu’un homme « s’est cassé le nez, qu’il a donné du nez en terre, lorsqu’il a mal réussi en quelque affaire, qu’il a fait banqueroute » (Furetière) ; avec en outre ici, une méchante allusion au nez camus de Théophraste Renaudot. Ses fils, Isaac et Eusèbe, n’ont été reçus docteurs régents qu’à la fin de 1648 ; v. note [16], lettre 104.