À Claude II Belin, le 14 août 1645
Note [1]
« sur ce qui compte le plus dans la vie ». Alors que Nicolas Belin, fils aîné de Claude ii, après avoir étudié à Paris pendant quatre ans, s’en allait prendre ses degrés de médecine à Montpellier, son frère cadet (prénommé Claude iii ou Jean-Baptiste, v. note [2], lettre 109) prenait le relais auprès de Guy Patin qui avait mission de superviser ses études parisiennes (qui allaient être bien plus tumultueuses que celles de Nicolas).