À Nicolas Belin, le 24 octobre 1646
Note [11]
« La saignée est le secours suprême de notre art. Vous pourrez en connaître parfaitement les pouvoirs remarquables et les capacités presque divines dans le livre ii, en entier, de la Méthode générale de Fernel ». La totalité des 20 chapitres de ce livre, autrement appelé Méthode de remédier ou Thérapeutique universelle (édition française de Paris, 1655, v. note [1], lettre 36) a trait à la saignée considérée sous tous ses aspects (pages 47‑153) ; v. note [3], lettre 124, pour Galien sur la saignée.