À Nicolas Belin, le 17 décembre 1646
Note [4]
« seule raison pour laquelle ». La brouille au sujet des médecins de Montpellier entre Guy Patin et Claude ii Belin, père, se confirmait ici avec éclat : il avait alors cessé (sous prétexte de maladie) de correspondre avec son ami parisien ; son fils Nicolas assurait encore un lien entre eux.