À Claude II Belin, les 18 et 22 août 1647

Note [5]

« et le juge, et la Cour, et les quirites [v. note [19], lettre 222]. »

Quæ si judicio tuo probentur,
Ut classis modo in ultimæ referri
Possint centurias, nihil timebo
Censuram invidiæ, nihil morabor
Senatus critici severitatem,
Nihil grammaticas tribus, mihi unus
Beza est curia, censor et quirites
.

[Si vous jugez bon que me vers puissent être classés dans la plus modeste catégorie, je ne craindrai en rien la censure de la jalousie, et ne ferai aucun cas de la sévérité du sénat critique, ni des hordes de grammairiens, car pour moi, Bèze à lui seul est le juge, la Cour et les quirites].

Sept derniers vers de l’épigramme Ad Tehodorum Bezam [À Théodore de Bèze], du Hendecasyllabon liber [Livre d’hendécasyllabes] de Georges Buchanan (Poemata [Poèmes], Amsterdam, 1641, v. première notule {a}, note [11], lettre 65), pages 351‑352.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, les 18 et 22 août 1647, note 5.

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(Consulté le 17/04/2024)

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