À Charles Spon, le 7 février 1648
Note [63]
« En médecine on distingue deux sortes de chaleur : la naturelle, qui est le principe de la vie des animaux ; et l’étrangère, qui leur arrive par accident ou de dehors, comme par les remèdes, par les aliments, et c’est celle qui cause les maladies, et surtout la fièvre. […] La chaleur naturelle est souvent suffoquée par des causes étrangères » (Furetière).