« il est affligé d’une fièvre marastique, venant d’une intempérie ancienne du foie et d’autres viscères, qui s’accompagne d’une fluxion hépatique et mortelle. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 mai 1648, note 17.