À Claude II Belin, le 28 octobre 1648
Note [3]
« de l’Âme et ses facultés, jusqu’au point où un médecin les peut considérer » (v. notes [59] et [60], lettre 150). Caspar Hofmann n’a fait paraître en 1648, à Paris, que l’Institutionum suarum medicarum Epitome… [Abrégé de ses Institutions…] (v. note [26], lettre 150) dont aucune partie ne se rapporte spécifiquement aux facultés de l’âme.