À Charles Spon, le 20 mars 1649

Note [164]

Guy Patin a écrit cette dernière phrase dans la marge, en regard du passage entre crochets qu’il a biffé de deux traits de plume.

La joie que la cour, alors à Saint-Germain, aurait tirée de la capture de Grancey était en effet invraisemblable, car il était l’un de ses indéfectibles soutiens militaires du moment. Guy Patin semblait ici s’égarer entre les affaires de Grancey, gouverneur de Gravelines, et celles de Rantzau, gouverneur de Dunkerque, déjà entre les mains de Mazarin (v. supra note [155]). Grancey n’avait été capturé ni par la cour, ni par les frondeurs.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 164.

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(Consulté le 24/04/2024)

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