Passer du denier dix au denier douze, c’était faire baisser de 10 à 8,33 pour cent le taux des emprunts de l’État et ralentir ainsi la faillite qui menaçait le Trésor royal.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 178.