À Charles Spon, le 20 mars 1649
Note [179]
« et en cela réside l’injustice des dieux, j’entends nos princes, Gaston et Condé, qui ont soutenu le parti des malfaisants ».
Aulu-Gelle Nuits attiques (livre xvii, chapitre ii, § 16, commentant un passage des Annales de Claudius Quadrigarius, historien latin du ier s. av. J.‑C.) :Nam hæc maxime versatur deorum iniquitas, quod deteriores sunt incolumiores neque optimum quemquam inter nos sinunt diurnare.
[Car l’injustice des dieux tient surtout à ce qu’ils donnent la meilleure santé aux plus méchants, sans laisser l’homme de bien vivre longtemps].