À Charles Spon, le 13 juillet 1649

Note [19]

« mais il ne s’est pas fié à lui. » La venue à la cour de Beaufort, l’un des plus acharnés frondeurs, eût été une belle marque de réconciliation et de fin des hostilités.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 juillet 1649, note 19.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0186&cln=19

(Consulté le 24/04/2024)

Licence Creative Commons "Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.