« On appelle figurément un homme stupide une grosse bûche et on dit d’un paresseux qu’il ne se remue non plus qu’une bûche, qu’il vaudrait autant parler à une bûche » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 août 1649, note 13.