À Charles Spon, le 20 août 1649

Note [16]

On dit « il n’est pas échappé qui traîne son lien, de ceux qu’on rattrape après qu’ils se sont sauvés de prison », « qu’on n’est pas échappé quand on traîne son lien » (Furetière).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 20 août 1649, note 16.

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(Consulté le 07/05/2024)

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