À Charles Spon, le 3 décembre 1649
Note [53]
Robert Patin allait soutenir sa dernière thèse de bachelier, la seconde quodlibétaire, le 9 décembre 1649 sous la présidence de François Boujonier : Estne certa et optima luis veneræ per solam hydrogyrosim curatio ? [Une meilleure et certaine guérison de la maladie vénérienne (syphilis) n’est–elle pas procurée par le seul mercure ?], conclusion affirmative (v. note [1], lettre 157).