À Charles Spon, le 10 janvier 1650
Note [5]
Les vertus narcotiques de la thériaque (sans doute les seules qu’elle eût vraiment) étaient liées à sa richesse en opium.
V. l’observation xi (sur la thériaque et le mithridate) pour les vertus distinctes de la thériaque nouvelle (c’est-à-dire fraîchement préparée), tenue pour un remède « froid », et pour celle qu’on avait laissé vieillir pendant plusieurs années, qui devenait de plus en plus « chaude ».