À Charles Spon, le 11 janvier 1650
Note [10]
V. note [10], lettre 212, pour la relation que Dubuisson-Aubenay a donnée de cet imbroglio mêlant Gaston d’Orléans, le prince de Condé, Pierre Broussel, le coadjuteur et le duc de Beaufort devant le Parlement, au sujet des deux attentats simulés du 11 décembre précédent, contre Guy Joly et contre M. le Prince.
Guy Patin prenait nettement ici le parti des frondeurs, ou plutôt celui des rentiers de l’Hôtel de Ville qui faisaient alors cause commune avec eux.