À Claude II Belin, le 6 mars 1650
Note [1]
« L’opiniâtreté de votre maladie m’épouvante » : Terret me hæc tua tam pertinax valetudo (Pline le Jeune, Lettres, livre vii, début de la lettre i à Restitutus).
Neveu de Pline l’Ancien, le naturaliste (v. note [5], lettre 64), Pline le Jeune (Caius Plinius Cæcilius Secundus, Côme 61 ou 62-vers 114) mena une carrière sénatoriale qu’il couronna par le gouvernement de Bithynie. Il a laissé dix livres de Lettres et un Panegyricus de l’empereur Trajan.
La note [46] du Borboniana 7 manuscrit (4e citation) donne un bel exemple de son admirable talent littéraire (et médical).