À Charles Spon, le 14 juin 1650
Note [13]
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome i, page 268, 31 mai 1650) :
« Le prince de Conti se trouve bien mal depuis quelques jours. On dit que c’est encore de ce coup de chandelier qu’il se donna en se jouant, il y a déjà quelques mois ; mais ce n’est point cela, oui bien {a} sa faiblesse naturelle et le défaut de son corps tortu et de mauvaise conformation. »
- Mais bien plutôt.
Journal de la Fronde (volume i, fo 226 vo, 30 mai 1650) :
« M. le prince de Conti est malade, à cause de quoi on lui permet de se promener en chaise dans la basse-cour du Bois de Vincennes ; et M. le Prince, prétendant que M. de Bar eût eu ordre de le laisser aussi promener sur le donjon, l’a querellé de ce qu’il ne < le > lui permettait pas et l’a enfin obtenu. »