À Charles Spon, le 26 juillet 1650
Note [23]
Les Comptes de Faculté de médecine, dans les Commentaires de Guy Patin sur les deux années de son décanat, établissent que la tradition voulait que le premier classé de la licence (v. note [8], lettre 3) fît un don généreux à la Faculté, mais le montant n’en atteignait pas les 1 200 livres tournois dont il parlait ici (qui pouvaient toutefois inclure les frais des festivités liées à l’événement, mais ils sembleraient extravagants) :