« Ils se croient aimables, quand ce ne sont que de purs vauriens et de misérables souffleurs » ; v. note [6], lettre 71, pour les traités de Thomas Éraste contre Paracelse.
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 12 août 1650, note 10.