« je n’ai certes pas eu la liberté, tant j’avais à faire, de me complaire dans l’oisiveté. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 août 1650, note 42.