À Charles Spon, le 4 novembre 1650
Note [19]
La thèse de Guy Patin sur la Sobriété (v. note [6], lettre 143) servait d’argument au Patinus fustigatus [Patin fouetté] que le médecin chimiste Arnaud voulait publier contre lui (v. note [3], lettre 243 ; libelle introuvable, mais que Patin a longuement commenté dans la précédente lettre à André Falconet).