« Avec ce décanat, je sens qu’une pénible charge m’est placée sur les épaules, et un très cruel fardeau. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 novembre 1650, note 2.