À Claude II Belin, le 5 juillet 1651
Note [2]
Les « lettres de Montpellier » étaient le diplôme de docteur en médecine délivré par cette Université ; « un homme fait l’entendu lorsque mal à propos il fait le capable, ou qu’il a une grande vanité » (Furetière). V. note [10], lettre 122, pour les brimades de la Faculté de médecine de Paris contre Isaac et Eusèbe Renaudot, en représailles de la querelle qu’elle avait avec leur père, Théophraste, le Gazetier.