Guy Patin ne conseillait rien de moins à ses confrères de Troyes que de crier à la surprise (tromperie) et à la fausseté d’une preuve en prétendant qu’ils en avaient eu avis.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 5 juillet 1651, note 3.