À Charles Spon, le 28 mai 1652
Note [11]
« il est malheureux de mourir dans les eaux ; à vrai dire, il est malheureux de mourir, quelle qu’en soit la manière. Il est encore plus malheureux de ne pas mourir et de vivre, particulièrement en France, parmi tous les mouvements et tout le tumulte d’un État agité, quand la Fortune, cette déesse aveugle des mortels, sème si misérablement le désordre dans nos affaires, avec le Destin, la reine, le Mazarin et tous les autres démons. »