À Claude II Belin, le 15 juin 1652
Note [5]
« pour la noblesse et la gloire de l’art que nous professons. »
L’avant-dernière lettre de Claude ii Belin devait adresser des reproches à Guy Patin sur son attitude conciliante dans le différend qui opposait le Collège des médecins de Troyes au fils du chirurgien Bailly qui voulait s’y faire admettre sans avoir les diplômes honorables qu’on exigeait pour cela. Patin se rangeait ici prudemment à l’avis de son correspondant.