À Charles Spon, le 2 août 1652
Note [12]
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome ii, page 255, juillet 1652) :
« Vendredi matin 12, on a la réponse faite de la part du roi par écrit aux députés du Parlement qui doivent demeurer en cour jusqu’à ce que les princes aient envoyé les leurs pour régler le licenciement ou éloignement des troupes et arrêter les ordres nécessaires pour rétablir le calme en l’État. Quoi faisant, le cardinal Mazarin se retirera et, dit-on, qu’il ira à Turin ou à Pignerol. »