À Charles Spon, le 25 octobre 1652
Note [7]
Estramaçon : « coup qu’on donne du tranchant d’une forte épée, d’un coutelas, d’un cimeterre. On le dit aussi de l’arme même. Les héros des romans pourfendaient les géants d’un coup d’estramaçon » (Furetière).