Ça n’était ni la première, ni la dernière fois que Guy Patin se plaisait innocemment à rêver sur l’admirative tendresse que lui vouait l’épouse de Charles Spon.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, les 21 et 22 novembre 1652, note 65.