Guy Patin doutait que le Canon fût bien d’Avicenne (v. note [11], lettre 11). Il est revenu un peu plus tard sur les deux Avicenne : v. note [24], lettre 317.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 9 mai 1653, note 26.