À André Falconet, le 27 juin 1653
Note [1]
« Il est en effet établi que l’antimoine est un poison. »
V. note [2], lettre 276, pour l’Orthodoxe ou de l’abus de l’antimoine… de Claude Germain (Paris, 1652) ; celui qui avait « taillé sa plume » pour lui répondre par « un galimatias de gazette » était Eusèbe Renaudot, avec son Antimoine justifié… (v. note [21], lettre 312), dont l’impression était en cours.