À Claude II Belin, le 12 novembre 1653
Note [1]
Métail : « les poètes disent quelquefois métal, quand ils sont contraints par la rime » (Furetière) ; une fois n’est pas coutume, les poètes ont gagné, c’est leur manière qui l’a emporté.
L’argent que Claude ii Belin expédiait venait en dédommagement des soins que Guy Patin avait prodigués au fils de son ami. Le frère de Claude ii qui avait rendu visite Patin pouvait être le chanoine, Nicolas, ou le médecin, Sébastien.