« Vous avez heureusement agi avec votre Danois blessé, mais il vous appartient de veiller à ce qu’il ne dépérisse pas d’une si grave maladie. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 février 1654, note 5.