À Charles Spon, le 20 mars 1654
Note [2]
« le secret du prince : ce qu’on recherche en vain, et sans espoir d’y parvenir. »
Tacite (Annales, livre vi, chapitre viii) :Abditos principis sensus et si quid occultius parat exquirere inlicitum, anceps ; nec ideo assequare. [Vouloir deviner les secrètes pensées du prince et s’il prépare quelque chose de plus caché, est illicite, dangereux ; et sans espoir d’y parvenir].